Polémique sur les Déguerpissements : Réplique du Ministre de l'Intérieur
Le ministre de l’Intérieur, le général Jean Baptiste Tine, a répondu au maire de Colobane, Abdoul Aziz Paye, concernant la récente circulaire ayant déclenché une série de déguerpissements dans les marchés, suscitant une vive polémique. Le maire avait accusé le ministère de l'Intérieur d'être à l'origine de cette directive controversée.
« C'est la première fois que je vois un maire qui n'est pas destinataire d'une circulaire et qui dit que c'est le ministre de l'Intérieur qui l'a chargé de le faire », a ironisé le ministre, cité par Bes Bi. « Le ministre de l'Intérieur ne donne pas de directives aux maires, car il existe des pouvoirs déconcentrés et décentralisés », a-t-il ajouté pour clarifier les compétences en jeu.
En outre, le général Tine a précisé : « Ma circulaire s'adressait aux autorités administratives. Avez-vous rencontré des problèmes à Rufisque ? Il n'y en a pas eu beaucoup car la mise en œuvre était bien encadrée. Il semble que Colobane ait rencontré d'autres difficultés et que cela ait été mal géré par certains. Ce n'est pas souhaitable ».
Cette réponse du ministre de l’Intérieur vient éclaircir la situation après les accusations du maire de Colobane, soulignant les distinctions entre les responsabilités des différentes autorités dans l'application des directives administratives.
CAK
« C'est la première fois que je vois un maire qui n'est pas destinataire d'une circulaire et qui dit que c'est le ministre de l'Intérieur qui l'a chargé de le faire », a ironisé le ministre, cité par Bes Bi. « Le ministre de l'Intérieur ne donne pas de directives aux maires, car il existe des pouvoirs déconcentrés et décentralisés », a-t-il ajouté pour clarifier les compétences en jeu.
En outre, le général Tine a précisé : « Ma circulaire s'adressait aux autorités administratives. Avez-vous rencontré des problèmes à Rufisque ? Il n'y en a pas eu beaucoup car la mise en œuvre était bien encadrée. Il semble que Colobane ait rencontré d'autres difficultés et que cela ait été mal géré par certains. Ce n'est pas souhaitable ».
Cette réponse du ministre de l’Intérieur vient éclaircir la situation après les accusations du maire de Colobane, soulignant les distinctions entre les responsabilités des différentes autorités dans l'application des directives administratives.
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