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CONTRIBUTIONS

Un nouveau scandale foncier éclate au Sénégal, impliquant de hautes autorités et des affairistes. La vente du bail foncier de 14 450 m² de l'Hôtel Savana Dakar, située en plein cœur de Dakar, soulève de nombreuses interrogations et accusations de fraude. Ce terrain, dont la valeur réelle est estimée à 36 milliards de francs CFA, a été cédé pour seulement 10,5 milliards, déclenchant un tollé.


Affaire Hôtel Savana : Un Scandale à 36 Milliards de Francs CFA ( Marvel Ndoye )
Les Acteurs Principaux
1. Amadou Loum Diagne
Déjà connu pour divers scandales, notamment celui du FESMAN à 25 milliards, Amadou Loum Diagne est au cœur de cette affaire. Sous le couvert de sa société PARINVEST SA, il aurait orchestré cette opération douteuse.

2. Mamour Fall
Associé du Cabinet Garecgo, il a été désigné comme syndic pour la liquidation judiciaire de l'Hôtel Savana. Cependant, son cabinet est également le commissaire aux comptes de sociétés appartenant à Amadou Loum Diagne, soulevant des questions de conflit d'intérêts.

3. La Société Hôtelière du Lido (SHL)
Propriétaire de l'Hôtel Savana Dakar, la SHL est la victime de cette arnaque. Les propriétaires accusent les autorités de vouloir les spolier de leur bien à vil prix.

4. Luis Riu Guell
Impliqué précédemment dans le scandale des 25 hectares de la Pointe Sarène, Luis Riu Guell est soupçonné d'être le bénéficiaire final de cette vente frauduleuse.

5. Divers Acteurs au Sein de l'État
Des fonctionnaires de la Direction des domaines et de la magistrature sont également impliqués, aidant à faire avancer les intérêts des affairistes au détriment des propriétaires légitimes.

Chronologie des Événements
Acte 1 : Lancement du Projet "Iles-Jardins"
SAVANA a initié un projet ambitieux de création de pôles écologiques de développement appelés "Iles-jardins". Pour cela, il fallait renouveler ou convertir le bail foncier de 14 450 m² et acquérir une parcelle attenante. C'est à ce moment que les manipulations ont commencé.

Acte 2 : Mise en Difficulté de l'Hôtel
Avec le projet en cours, l'exploitation commerciale de l'hôtel a été réduite. Les autorités ont fait traîner les procédures de renouvellement ou de mutation du bail, attribuant même la parcelle attenante à CSE, plongeant l'hôtel dans une situation économique critique.

Acte 3 : Liquidation Judiciaire
Le 24 mars 2024, un jugement a mis l'Hôtel Savana en liquidation judiciaire, désignant Mamour Fall comme syndic et El Hadj Malick Wade comme juge commissaire. Ce dernier est également le commissaire aux comptes de la société VACAP World, propriété d'Amadou Loum Diagne.

Acte 4 : Vente de l'Hôtel à Prix Défiant Toute Logique
Mamour Fall a organisé un appel à manifestation d'intérêt pour la vente de l'hôtel. De manière suspecte, c'est le groupement PARINVEST SA – CSE, en partenariat avec le groupe RIU, qui a été retenu pour la modique somme de 10,5 milliards, alors que la valeur réelle dépasse 36 milliards.

Acte 5 : Rejet des Actions Judiciaires
Toutes les actions judiciaires intentées par les propriétaires de l'Hôtel Savana ont été ignorées ou rejetées, malgré les évidences de fraude et de conflit d'intérêts.

Appel aux Nouvelles Autorités
Les nouvelles autorités sont appelées à intervenir pour stopper ou annuler cette vente frauduleuse et demander des comptes aux responsables. Le Premier Ministre Ousmane Sonko, lors de sa visite à la plage de l’Anse Bernard, a dénoncé ce scandale et rappelé la valeur réelle des terrains dans cette zone.

Source contribution : Marvel Ndoye

Le voleur, qui veut être Roi

Bougane GUÈYE, dans sa nouvelle vocation qui est de s'attaquer au Président Ousmane SONKO, a fait une déclaration dans laquelle il a avoué préférer le vol au mensonge. Tout le monde sait  que le vol et le mensonge sont des contre-valeurs qui sont proscrites et rejetées par toutes les sociétés humaines partout dans le monde. Mais lui a jeté son dévolu sur l'un (le vol) tout en réservant l'autre à Ousmane SONKO.


Le vol sous toutes ses formes n'est admis nulle part dans le monde. 
Pour quelqu'un qui aspire à devenir président de la République, préférer le vol, c'est faire l'apologie de la kleptomanie. Avec Bougane comme président, ce serait la continuation de la cleptomanie qui a été le mode de gestion des ressources de notre pays pendant 12 ans. La meilleure preuve, c'est qu'après le départ de Macky Sall, il a laissé près d'une centaine de rapports des corps de contrôle qui sont au tribunal pour jugement. 


Avec Bougane, ce serait le retour au régime de la kleptocratie que les sénégalais ont combattu avec vigueur et jeté à la poubelle de l'histoire. Le régime de Macky n'a pas sa place dans le riche palmarès historique du Sénégal 
Pour ce qui concerne le mensonge 


Bougane a attaqué Ousmane SONKO de menteur en faisant allusion au verdict dans l'affaire de diffamation dans laquelle, Mame Mbaye Niang l'avait accusé de l'avoir diffamé. C'est à la suite de ce verdict qu'Ousmane avait été éliminé de la liste des candidats à la présidentielle de 2024. 


C'est comme s'il se réjouissait de l'élimination d'Ousmane SONKO de la présidentielle de 2024. Oui mais, Ousmane SONKO est devenu premier ministre à la suite de cette élection. Une des preuves du mensonge judiciaire.


L'AFFAIRE MAME MBAYE NIANG 
Le procès relatif à cette affaire requiert un certain nombre de remarques :
-La toute première remarque sur cette affaire est que le procès  avait été mené aux pas de charges : le but, c'était de le boucler avant l'élection de 2024 pour éliminer Ousmane SONKO. Ils avaient réussi in extremis, comme au marathon à faire retirer sa candidature. Comme ils l'avaient fait avec Karim Wade et Khalifa Sall.
-L'implication par substitution du parquet à Mame Mbaye Niang, en faisant appel à la place de Mame Mbaye Niang.


L'objet de la plainte du plaignant portait sur l'existence et le statut du rapport. La partie civile, avec le soutien du parquet avait chargé SONKO de recel de rapport, de faux et usage de faux.


-Par rapport à d'autres cas de diffamation de même nature qui dorment toujours dans les bureaux des magistrats. Il y'a le cas de diffamation Madiambal Diagne et le juge Teliko, qui n'a pas encore connu son épilogue.


Il y'a le cas de Ba Diakhaté qui a passé tout son temps a insulté la famille d'Ousmane SONKO durant tout le règne de Macky Sall. Jamais il n'avait été inquiété. Pour la première fois que le procureur a enfin daigné l'arrêter, il été tout simplement condamné à une peine légère avec une somme dérisoire et il n'a pas perdu ses droits comme ils l'avaient fait avec SONKO. La peine infligée à SONKO : c'est la première fois que l'on condamne quelqu'un à une peine aussi lourde pour diffamation : 200 millions plus perte de ses droits politiques.

Au finish, Ousmane SONKO a été éliminé.
Ousmane SONKO, lors de sa rencontre avec la jeunesse au Grand Théâtre, a informé qu'il avait déjà ce rapport sur son bureau. Cette déclaration d'Ousmane SONKO est une manière pour faire comprendre que ce rapport a bel et bien existé, malgré tout ce qui a été dit pour le condamner. 


Cette déclaration concerne également Amadou BA, le ministre qui avait commandité l'inspection du PRODAC, avec bien l'intention  de faire la lumière sur cette affaire. Il avait reconnu l'existence de ce rapport. Mais il n'a pas eu le courage de prendre ses responsabilités quand l'affaire avait été portée devant la justice. Il n'avait pas eu le courage de dire la vérité alors que c'est lui-même qui avait demandé le contrôle. 


En faisant cette révélation, SONKO voulait montrer à l'opinion publique que le procès dit Mame Mbaye Niang est un procès mensonger, fabriqué par le parquet pour l'empêcher de se présenter. Au total, Ousmane SONKO a été victime de toutes sortes de mensonges de la part du régime de Macky Sall, dont les plus célèbres sont l'affaire Adji SARR et l'affaire Mame Mbaye Niang. 
Le fait pour Ousmane SONKO de devenir PM et la présence du rapport dans son bureau montrent qu'il s'agit d'un gros mensonge d'État.


L'AFFAIRE ADJI SARR
Elle a mis le pays à feu et à sang et elle s'était soldée par un acquittement : c'est un dossier mensonger qui avait quitté la gendarmerie sans preuves de viol ni de menaces de viol mais le procureur de la République et le juge d'instruction l'avaient fait parvenir à la chambre criminelle. Sachant en âme et conscience qu'il n'y a rien dedans. Quand le juge a reçu et ouvert le dossier, il n'y a trouvé qu'un tissu de mensonges. Il ne pouvait alors qu'acquitter Ousmane SONKO. 


Où est Adji SARR ? Ils l'ont exilée. 
Mame Mbaye Niang aurait également quitté le pays.
L'accusation de terrorisme, Ousmane et Diomaye : ils sont arrivés à la tête du pays, malgré les moyens importants qu'ils avaient mis en œuvre pour les en empêcher. 
Dans l'affaire Adji Sarr, si SONKO avait violé Adji Sarr, le capitaine Touré allait l'arrêter et dans ce cas, aucun citoyen n'aurait protesté parce que dans ce cas, ils auraient toutes les preuves irréfutables du viol.


Si Ousmane SONKO et DIOMAYE étaient réellement des terroristes, ce sont les forces nationales de défense et de sécurité qui les auraient arrêtés parce que dans ce cas, ce sont elles qui auraient les preuves, dans la mesure où ce sont elles qui veillent sur notre sécurité de façon inlassable et permanente.


Ousmane SONKO et DIOMAYE doivent leur salut au patriotisme des forces nationales de défense et de sécurité qui avaient refusé de se mêler de ces affaires parce que n'ayant pas de preuves. Ces affaires sont des fabrications des politiciens pour se débarrasser des opposants et qui avaient été couverts par par une pincée de magistrats  sur quelques 500 que compte la magistrature.


Ce sont ces mensonges qui sont à l'origine de la mort de près d'une centaine de personnes. Peut-être même plus. Le mensonge tout court n'est pas bon. Et si ce sont les autorités chargées de la destinée du pays qui s'adonnent à ces contre-valeurs, cela peut aboutir à la tragédie. C'est la situation que nous avons vécue sous le régime de Macky Sall.


Au total, Bougane GUÈYE, en cherchant à discréditer SONKO, lui a au contraire rendu un grand service, en se tirant en même temps une balle, quand il donne sa lettre de noblesse au vol qui a ruiné l'économie de notre pays.
Par Honorable député Dr Ismaila Diallo


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