Menu

Abdoulaye Thiam de Computer Land, Intouchable Malgré un Scandale de 9 Milliards de F CFA




Dans les coulisses du dernier rapport explosif de l'Inspection Générale d'État (IGE), une figure émerge avec éclat : Abdoulaye Thiam, le patron de Computer Land. Ce nom, désormais sur toutes les lèvres, est associé à un contrat de 9 milliards de F CFA passé dans des conditions extrêmement douteuses avec l'Agence de l'informatique de l'État (Adie). 

Une Affaire Scabreuse

Selon les révélations de Libération, les faits sont accablants. Thiam aurait remporté ce marché colossal en contournant les procédures normales et en entretenant des relations plus que suspectes avec des membres influents de l'Adie. La transparence, pilier de la gestion publique, semble avoir été sacrifiée sur l'autel des intérêts personnels.

Loin d’Être Inquiété

Mais ce qui frappe encore plus fort que les malversations alléguées, c'est l'impunité dont semble jouir Abdoulaye Thiam. Alors que la logique voudrait qu'une enquête judiciaire soit immédiatement déclenchée, il apparaît que Thiam reste étonnamment serein. Pire encore, il continue de fréquenter des événements publics de haute importance sans la moindre gêne.

Une Apparition Déconcertante

Lors de la récente cérémonie de remise des prix du Concours général, Thiam a été vu non seulement parmi les invités, mais il était également au cœur des festivités. Des vidéos le montrent discutant librement avec des personnalités influentes, apparemment non affecté par les scandales qui l’entourent. De manière ironique, c’est lui qui a remis des ordinateurs aux lauréats, un geste qui résonne étrangement au vu des accusations portées contre lui.

Un Réseau de Soutien Solide

Ce traitement de faveur soulève des questions inquiétantes sur les rouages du pouvoir et les réseaux d'influence en jeu. Comment se fait-il que malgré des preuves apparemment accablantes, Abdoulaye Thiam puisse non seulement échapper aux poursuites, mais aussi continuer à prospérer publiquement ? Qui le protège, et pourquoi ?

Vers une Justice Selective ?

Le cas d'Abdoulaye Thiam de Computer Land met en lumière une possible justice à deux vitesses, où certains individus, grâce à leurs connexions, semblent au-dessus des lois. Les autorités en charge de l'application de la justice devront répondre de cette situation alarmante pour restaurer la confiance du public.

En attendant, Abdoulaye Thiam reste libre, plus que jamais, défiant toute logique et mettant à mal les efforts de lutte contre la corruption.
Lesenegalais.info

ACTUALITÉS | POLITIQUE | ECONOMIE | SPORT | CÉLÉBRITÉS | Enquêtes et Révélations | PORTRAITS | LU AILLEURS | À propos | CONTRIBUTIONS


Inscription à la newsletter